Les points suivants ont été abordés :

  • Le solde du budget pour le renforcement de la justice, tel qu’obtenu en 2020 sera réparti après le contrôle budgétaire. Une petite partie est réservée pour la mise en place du projet de gestion autonome. Tout budget complémentaire devra être négocié avec le prochain gouvernement sur la base des besoins objectivés grâce à la mesure de la charge de travail.
  • Le cabinet insiste aussi sur l’urgence à proposer des projets de règlements de répartition des affaires qui permettraient de mieux organiser la justice au sein des cours et tribunaux. Les comités de direction sont donc encouragés à aller de l’avant.
  • Le cabinet est conscient de la nécessité de réaborder le « masterplan » bâtiments judiciaires afin de définir clairement les besoins à communiquer à la Régie des bâtiments.
  • Le cabinet s’inquiète à nouveau de l’évolution de la surpopulation carcérale et souhaite sensibiliser le Collège à cette question. Le cabinet admet néanmoins que cette question relève exclusivement du pouvoir de décision du juge et donc de son indépendance.